LE CORBAC ET LE GOUPIL

   Un pignouf de corbac sur un arbi planqué
   S'envoyait dans la fiole un coulant barraqué.
   Un goupil n'ayant eu qu'un cent d'clous pour bectance,
   S'en vint lui dégoiser un tantinet jactance:
   Salut, dab croasseur ! Lui bonnit-il d'autor.
   En disant qu't'es l'plus beau, j'ai pas peur d'avoir tort !
   Si tu pousses la gueulante aussi bien qu't'es nippé,
   T'es l'mecton à la r'dresse des mectons du boicqué !
   ...


Merci à Christophe pour cette pièce d'une rare qualité.

Nous recherchons la fin du poème. Si vous en avez connaissance, écrivez-nous.